Delphine Frémaux-Lejeune : la reine des enchères qui redonne une âme aux objets à Rouen

Cette semaine, on braque les projecteurs sur une femme qui fait vibrer les salles de ventes et les écrans : Delphine Frémaux-Lejeune. Commissaire-priseuse à Rouen depuis plus de 20 ans, elle ne se contente pas de faire claquer son marteau : elle redonne une histoire et une âme aux objets qui passent entre ses mains. Son credo ? Faire des enchères un moment de partage, d’émotion et de découverte.

L’art de faire parler les objets

Pour Delphine, une vente aux enchères, ce n’est pas juste une suite de chiffres et de coups de marteau. C’est un spectacle, une enquête, une transmission. Une vieille malle poussiéreuse ? Peut-être celle d’un aventurier du siècle dernier. Une table en bois massif ? Elle a sûrement entendu des milliers de conversations. Son job, c’est de comprendre ces histoires, de les raconter, et de leur trouver un nouveau foyer. Et ça, elle le fait avec une passion débordante et un regard affûté.

Une star des enchères… et de la télé

Vous l’avez sûrement déjà vue sur France 2 dans Affaire Conclue. Chaque semaine, Delphine partage son expertise avec le grand public et prouve que le monde des enchères n’est pas réservé aux élites. Elle casse les clichés, déconstruit les idées reçues et montre qu’avec un peu de curiosité, tout le monde peut se prendre au jeu. Son énergie communicative et son humour font d’elle une figure incontournable du milieu.

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Un métier fait de rencontres et d’émotions

Derrière la commissaire-priseuse, il y a une femme de terrain, une baroudeuse de l’art et du patrimoine. Toujours en quête de trésors cachés, elle est prête à dénicher l’objet qui fera chavirer un collectionneur. Chaque jour est une nouvelle aventure : une maison à vider, une collection à estimer, une découverte inattendue à raconter.

Son quotidien, c’est aussi des visages, des histoires de famille, des objets qui traversent les générations. Certains vendeurs viennent avec un bric-à-brac sans grande attente, et repartent avec des souvenirs et un sourire. Parce qu’au fond, ce métier, c’est surtout une question de transmission et d’émotion.

Une vocation exigeante, mais une passion dévorante

On ne devient pas commissaire-priseur par hasard. Il faut 10 ans d’études, une bonne dose de persévérance et un œil aussi affûté qu’un détective pour décrypter l’authenticité et l’histoire d’un objet en quelques secondes. Mais pour Delphine, c’est plus qu’un métier, c’est une vocation.

Et comme elle aime partager son savoir, elle organise régulièrement des journées d’expertise gratuites. L’occasion idéale pour enfin savoir si le vase de mamie vaut une fortune ou juste un bon souvenir.

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« Il n’est pas nécessaire d’être un expert pour participer aux enchères. Normandy Auction permet à chacun de s’impliquer dans l’aventure, que ce soit en salle ou en ligne. Les enchères ne sont pas réservées aux initiés : tout le monde peut s’y essayer et découvrir un univers fascinant ! »

Avec Delphine Frémaux-Lejeune et Normandy Auction, chaque vente est une plongée dans le passé, une émotion à partager et une belle histoire à écrire.