Cathédrale de Lumière 2025 : dates, horaires et conseils pour en profiter

Quand les premiers soirs d’été caressent les pavés normands, la cathédrale de Rouen change d’allure. Plus qu’un monument, elle devient une toile vivante, magnifiée chaque année par le spectaculaire mapping vidéo de la Cathédrale de Lumière. À l’heure des longues soirées, le centre-ville se pare d’une ambiance unique : festive, familiale et empreinte de poésie urbaine.

Deux chapitres, deux ambiances – une superbe immersion

1. “Viking” : immersion historique

Les lecteurs férus de patrimoine vont adorer retrouver leurs racines. Brume sur la Seine, drakkars surgissant du néant, et la tête redoutable d’un dragon : le spectacle retrace les premières incursions normandes, de 841 à la consécration du traité de Saint-Clair-sur-Epte en 911. Un voyage visuel et sonore puissant, entre mythe scandinave et onze siècles d’histoire.

2. “Rendezvous with Light” : poésie lumineuse

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Après l’épopée guerrière, place à la douceur. Sans fil conducteur narratif, ce second volet joue sur la lumière pure : motifs impressionnistes, pop art, citations d’écrivains inspirés (Maya Angelou…), le tout porté par la voix d’Isabelle Huppert. Résultat ? Une immersion sensorielle subtile, presque hypnotique.

Programme & conseils malins

– 31 mai – 28 juin : vendredis & samedis à 23h
– 1 – 31 juillet : tous les soirs à 23h
– 1 – 15 août : tous les soirs à 22h30
– 16 – 31 août : tous les soirs à 22h
– 1 – 27 septembre : vendredis & samedis à 21h30

Durée du show : environ 45 minutes pour les deux volets.

Astuce Rouen Bouge : pensez à arriver 30 minutes à l’avance pour choisir votre coin préféré.

Gratuit, accessible, familial

• 100 % gratuit, pas de réservation : juste une bonne dose de spontanéité
• Accessible à tous : familles, groupes d’amis, touristes ou locaux.
• La place piétonne permet une immersion sans obstacle. Garde au frais ? Un petit plaid fera merveille sur les pavés.

Un rendez-vous annuel qui cartonne

Chaque année, le show attire un public fidèle, oscillant entre intérêt pour l’art numérique et épopée locale. C’est devenu un rite estival rouennais, presque un “afterwork radar nocturne” : on s’y retrouve, on se pose, on papote, et on s’immerge dans la lumière projetée.